La 3e mouture de la campagne publicitaire Allez-y, trahissez votre âge, menée par le Réseau FADOQ, bat son plein. En plus de ses publicités à voir au petit écran et sur le Web, celle-ci vous propose de lire les récits de dizaines d’hommes et de femmes comme vous, qui déboulonnent à leur façon les mythes et prouvent au quotidien que l’âge n’est qu’un chiffre.
Pour trahir son âge, nul besoin de sauter en parachute ni de faire des triathlons aux quatre coins du monde ! Jeanne-Rose Verville, qui est parmi les membres vedettes de la campagne publicitaire, en est une parfaite illustration. Cette femme « toute simple » joue aux quilles au moins trois fois par semaine… à 98 ans ! « J’aime m’amuser avec les dames, raconte-t-elle en parlant des membres de sa ligue. Ça me fait tellement de bien lorsque je suis ici. »
« J’aime grouiller », révèle pour sa part Marc Dufresne, 67 ans. Puisqu’il « faut bouger dans la vie pour en profiter », ce passionné parcourt les terrains de golf cinq fois par semaine (sans voiturette !), joue au hockey, fait de la raquette…
Une campagne FADOQ qui fait boule de neige
En diffusant des témoignages de ce genre, la campagne publicitaire Allez-y, trahissez votre âge lutte notamment contre les perceptions négatives liées au vieillissement. Après tout, être une personne aînée n’a rien de honteux.
En 2021, la mouture initiale n’avait pas de volet pour mettre en valeur les récits de ses membres. Dans la foulée, plusieurs de ces derniers ont contacté le Réseau afin de lui demander d’intégrer des témoignages de gens comme eux et dans lesquels ils peuvent se reconnaître. C’est ainsi qu’est né le projet de créer une série de 20 portraits inspirants. Le résultat, diffusé à l’automne 2022, a fait un tabac sur les réseaux sociaux.
Fort de ce succès, le Réseau récidive en publiant cet automne une deuxième série de témoignages, à raison de deux portraits par semaine. À terme, vous pourrez donc lire plus de 40 portraits au fadoq.ca/campagne-allez-y-trahissez-votre-age.
Les projets n’ont pas d’âge
Les témoignages sont diversifiés et les histoires, multiples. Malgré leurs particularités, les personnes qui se livrent ont un point en commun : le désir de demeurer actives autant que possible, aussi longtemps que possible.
« Parfois, on dirait que j’ai encore 14 ans dans ma tête, rigole Célia Godbout. Je ne vois jamais les problèmes, seulement les solutions. Et je trouve les moyens de mener à terme ce que j’entreprends. »
C’est un sentiment que partage Agathe Léveillée.
« J’ai senti que la vie commençait à m’envoyer des signes, raconte-t-elle. C’est comme si une passion en avait fait naître une autre. La fleuristerie m’a menée à redécouvrir l’écriture, un intérêt que j’ai toujours eu en moi. J’ai donc commencé à imaginer des contes pour enfants. »
Rendez-vous au site Internet du Réseau FADOQ pour lire l’ensemble de ces témoignages drôles, informatifs, touchants et inspirants !
Frappé par une maladie cardiovasculaire à 53 ans, suivi d’un infarctus à 65 ans et d’un pontage, je m’entraîne depuis 29 ans dans un gymnase trois fois par semaine 90 minutes par séance, 30 minutes de cardio et 60 minutes de musculations à la hauteur de mes capacités, incluant le placottage avec des amis nécessairement plus jeunes que mes 81 ans, ceci accompagné de ma conjointe de 79 ans. Ont tient bon…